Qui suis-je

& quelle est la mission de l'entreprise Seconde Nature ?

Découvrez ici les questions-réponses les plus fréquentes, à qui vous avez affaire et ce que je vous propose :) :


- Qui suis-je ?

- Comment me contacter ?

- Qu'est-ce que la newsletter Seconde Nature et sa fréquence ?

- Est-ce vraiment gratuit ?

- L'Univers et le projet Seconde Nature ?

- L'origine de son logo ?

- Les avis lecteurs & clients !

- Les produits et les offres Seconde Nature !

Qui est Florence ?

Je m’appelle Florence, je suis franco-suisse et je partage mes contenus via mon entreprise Seconde Nature qui est basée à Lausanne.


Je suis passionnée par de nombreux domaines (nature, ornithologie, jardinage, bien-être, alimentation, arts martiaux, danse, méditation etc…).


Je suis professeur de jardinage, mais de manière générale, je fais partie de ces personnes qui veulent absolument partager toutes les choses positives qu’elles expérimentent durablement :). Je suis profondément animée par la transmission.


J’ai créé cette entreprise avec l’objectif de prendre soin des Hommes et de la Terre en les reconnectant ensemble.

Je suis seule dans la société que j’ai créée, au nom éponyme “Seconde Nature”. Je travaille seule à ce jour, je n’ai pas d’actionnaire non plus ! J’aimerais beaucoup réussir à en vivre un jour, c’est mon rêve.


Mes proches et ma famille sont une source constante d’inspiration et de soutien pour mon projet. Peut-être que cela deviendra une entreprise familiale un jour !

Comment me contacter ?

Je suis joignable par email : il suffit de m'écrire à Florence@secondenature.com


Je réponds en général les après-midis, sous 48h max, je fais de mon mieux. Je suis très sollicitée par les lecteurs, donc je privilégie toujours de répondre aux lecteurs en premier.


Si vous avez des questions sur la newsletter ou mes produits, n'hésitez pas à vous abonner (c'est gratuit!) directement à la newsletter, vous verrez qu'elle est très pédagogique et vous aurez sûrement déjà un tas de réponses à vos questions via ces emails hebdomadaires.

Qu'est-ce que la newsletter Seconde Nature et sa fréquence ?

J'ai décidé de partager un max de mon expérience par écrit dans une newsletter gratuite que j'édite personnellement de A à Z.


La première semaine, je mets le paquet en vous envoyant 1 lettre par jour pour couvrir toutes les bases (avec des infos méconnues ou présentées de manière atypique très pédagogique : même les jardiniers de plus de 40 ans d'expérience me lisent, c'est un très beau compliment pour moi).


Ensuite, j'envoie environ 1 lettre par semaine, cela dépend de mon temps libre pour vous écrire.


Dès que j'ai une nouveauté (nouveau livre, nouvelle revue etc) à vous proposer (que je crée moi-même à 100%), je vous écris également pour vous en faire part avec des offres soldées en général, en guise de remerciement de votre présence dans la newsletter.


J'écris sur mes compétences et passion :

- jardinage

- biodiversité

- permaculture

- association de plantes notamment et variétés anciennes au potager !

- ornithologie : les oiseaux du jardin, mais aussi les migrateurs

- conseils de saison

-et parfois des conseils bien-être naturel !


Bref, toujours un bon conseil avec un ton amical, bienveillant.

Est-ce vraiment gratuit ?

Bien sûr !


D'ailleurs, il n'y a pas que la newsletter qui est gratuite : j'offre 2 PDF de valeur en guise de remerciement à toute personne qui s'abonne pour la première fois à la newsletter.


Ces 2 livrets offerts sont appréciés par tous mes élèves (en ligne comme en présentiel) car il répond en tout point aux questions qu’on se pose quand on veut créer ou améliorer son jardin dans les principes de la permaculture, 100% naturellement donc.


J'offre aussi de temps en temps d'autres contenus (PDF, visuels, vidéos, audio etc). Je suis généreuse de nature mais il est clair que l'objectif c'est de pouvoir en vivre donc j'apprécie le soutien de la

communauté dès que je sors une nouveauté (livres, revue etc.).


Je me réjouis de vos découvertes et j’ai hâte de faire plus connaissance, d’avoir vos retours pratiques au jardin après ces lectures.

L'Univers et le projet Seconde Nature ?

Je fournis des outils concrets, pour aller mieux. Tout simplement.


On case souvent cela dans la catégorie “développement personnel” , bien-être naturel.


Egalement dans la thématique du jardinage, de la permaculture.


Mon objectif est de devenir qui on est réellement.


Ne pas passer à côté de notre vie.


Notre vie qui se déroule chaque 24h, chaque seconde.

Mon but est donc d’y arriver en réveillant notre Seconde Nature, votre seconde nature :)


Je me nourris de mes expériences et formations, pour offrir un nouveau développement personnel, accessible à tous.


Quelques-unes de mes passions et expertises :


ornithologie, jardinage, agronomie et permaculture, bactériologie, massage thérapeutique, chant, dessin, méditation, sport dont kung fu, krav maga, danses de salon, énergétique, entrepreneuriat, voyages, nutrition etc…


Je pense que nous aurons beaucoup à partager ensemble !


J’ai hâte de vous rencontrer (je ferai prochainement des stages/séminaires), ou avoir du présentiel et que pas que des rencontres numériques.

Comment me désabonner de votre newsletter ?

Ultra facile, plusieurs options :


- dans chaque email, vous aurez la possibilité de vous désabonner en 1 clic très facilement si cela ne vous correspond plus à un moment donné. Si vous avez gmail, cela se trouve en haut de l'email.

- tout en bas de chaque email, vous avez également la possibilité de gérer vos données pour les modifier ou les supprimer.


- vous pouvez également m'écrire pour que je le fasse manuellement. Mais comme expliqué plus haut, je suis passablement sollicitée par email, donc pour ce genre de demande c'est mieux si vous êtes autonome puisque c'est très facile et transparent.

Les produits et les offres Seconde Nature !

Je propose actuellement : des formations en ligne ou des livres (numériques ou papier).


A ce jour dans la collection jardinage :

- je propose 2 livres

- et 1 revue mensuelle

Dans la collection bien-être :

- je propose une formation méditation en ligne (54 vidéos, 14h d'écoute)


Bonne nouvelle, à venir :

des stages et des conférences en présentiels en France, pour compléter les ressources numériques et papier.

N'hésitez pas à vous faire votre avis,

voici les derniers avis recus ces derniers jours :


Découvrez maintenant l'origine du logo

dessin fait maison !

J'ai souhaité transmettre des valeurs à travers mon logo. Qu'il soit vivant, attrayant, chaleureux, humain, parlant. Le voici ci-haut, qu'en pensez-vous ?


J'ai souhaité transmettre les valeurs de mon projet à travers mon logo.
Qu'il soit vivant, attrayant, chaleureux, humain, parlant.


N'ayant jamais pris de cours de dessin, j'aime dessiner ! Quand l'envie me prend, par période la plupart du temps.



Ce que j'aime en fait, c'est dessiner la nature.


Je crois bien que je n'ai jamais dessiné autre chose, à part une série de portraits de mes parents lorsque j'avais 10 ans. (Ils l'avaient mis sur la cheminée pendant pas mal d'années quand j'y repense... et je sais qu'ils l'ont gardé dans leurs affaires depuis !


Ainsi que mes BD ou autres dessins. J'ai retrouvé un carton d'enfance, c'est tellement émouvant).


Adulte, je continue de dessiner ce que je vois sous mes yeux, et j'adore dessiner les oiseaux ou les plantes.


Dessiner les oiseaux m'aident à retenir leurs particularités, leurs plumages, cela m'a été très utile lorsque j'ai pris des cours d'ornithologie (cycle de 3 ans, si passionnant) exemples :


Donc au moment de mettre sur ce pied ce projet qui me tient à cœur, j'ai naturellement pris une feuille de papier, et j'ai dessiné les 2 mots clés qui me venaient à cœur : seconde nature.


Restons ici sur le visuel pour le moment si vous le voulez bien :).


Très naturellement, ce sont ces images qui me sont venues en tête : des oiseaux, des végétaux, mais pas n'importe lesquels, je vais l'expliquer ci-dessous justement.


J'ai donc pris une feuille, et spontanément, j'ai dessiné au gros feutre (pas très malléable mais c'était pour le choix des couleurs vives.)


Voici donc les 2 variantes historiques haha :

Vous me direz d'ailleurs ce que vous en pensez en commentaires (soyez indulgent si vous trouvez que mes dessins font enfantins...).



L'idée phare de ma démarche : tout est imbriqué


Dans mon logo, je voulais montrer que "la boucle est bouclée", que "tout est dans tout", que n'importe quel être vivant est intrinsèquement lié à tous les autres, tout règne confondu.


Entre temps, j'ai avancé avec un illustrateur qualifié pour m'aider à peaufiner le design et l'agencement final des éléments :

Et alors pourquoi les colibris dans mon logo ?

A plus d'un titre, je vais essayer de faire bref :


1. Ils font partis des oiseaux les plus connus dans le monde, sur tous les continents alors qu'ils n'habitent qu'une toute petite partie du monde.


2. Ils sont célèbres parce qu'ils cumulent des prouesses inégalées par les autres oiseaux, mais cette force hors-norme est en réalité une grande faiblesse pour eux. (Et cela nous fait déjà méditer, n'est-ce pas ?)


3. Force : ils volent plus vite que vous sur la départementale... vitesse de croisière à 60km heure.


Et de nombreux pics à 97km en journée lorsqu'il s'agit de chasser un confrère ou fuir un danger.


C'est juste... incroyable. Surtout par rapport à leur taille minuscule (minus en général, et environ 5cm pour les petits colibris de Cuba!)


4. Faiblesse : leur vitesse leur coûte cher en essence ! Ils doivent faire le plein en carburant (nourriture) presque toutes les minutes, question de vie ou de mort. Ils ne savent pas voler autrement que par ses nombreux battements d'ailes - si nombreux que l'œil humain ne perçoit qu'un vrombissement.

J'ai eu la chance de les observer à loisir au Costa Rica.


Je m'en souviendrai toute ma vie. Quelle expérience !❤️👍


A chaque fois, ces pilotes de voltiges vous frôlent les oreilles si près, si vite, que c'est votre cœur à vous qui fait des bonds à chacun de leur passage ! Ils passent à quelques centimètres à peine de votre tête (si vous restez immobile à observer leur ballet).

Ces efforts de voltige demandent la nourriture la plus riche, concentrée, et rapidement assimilable qui soit : de l'eau sucrée, en l'occurrence, le précieux nectar de certaines fleurs tropicales.


Voici par exemple les fleurs riches en nectar dont ils se nourrissent dans ce parc en région montagneuse (chaud en journée, froid les soirs d'été : on s'y chauffe avec un feu de cheminée "en été").

Voici quelques colibris qu'on peut observer au Costa Rica dans cette zone :


Reprenons les raisons du choix du colibri dans mon logo

5. Ils en sont si dépendants que l'évolution sur plusieurs millénaires a façonné leu bec à la forme des fleurs pour aller puiser le nectar au fond du "réceptacle".


L'un sans l'autre, ce couple mythique ne peut exister. Les fleurs sont en fait les orifices de reproduction des plantes, qui charment intentionnellement (couleur, odeur, saveur) des hôtes (insectes, oiseaux, mammifères) pour aller tremper leur lèvre et butiner ainsi à leur place.


6. Sans fleur ouverte à temps au petit matin, le colibri se meurt... car la nuit son cœur baisse de 100 fois son rythme cardiaque (puisqu'ils vivent dans des zones semi-montagneuses en fait ! Où la température chute vite le soir).


Donc ils doivent "hiberner" chaque soir en opérant une sorte de semi-mort. Tant qu'il ne mange pas> rythme cardiaque aussi bas que possible (cela défie tous les autres animaux...).

Au matin, chaque battement d'aile leur coute si cher que les fleurs doivent déjà être là pour les nourrir. Ouvertes, odorantes, prêtes à les accueillir toute la journée, toutes les minutes.


Mais sans colibri, certaines plantes qui ont co-évolué avec eux se meurent aussi. Pas de descendance.


7. Le choix du colibri est donc un symbole par excellence de cette imbrication être vivant à son écosystème, lié aux autres habitants, inter-règnes.


8. Il montre aussi que toute "qualité" a le revers de sa pièce.


Il force à montrer l'être vivant dans son entièreté, pas seulement sa "prouesse" apparente. Il force à se demander "pourquoi?"


- pourquoi cette espèce est-elle ainsi ?

- Pourquoi voit-on d'ailleurs récemment de nouvelles espèces de colibri encore plus petits qu'actuellement ?


De nombreux mystères entourent encore ces graciles oiseaux !



L'image du colibri fait aussi écho à ce conte amérindien, si bien popularisé par Pierre Rabhi.


En susbtance, voici le conte :

Un jour, dans la forêt d'Amazonie, un orage déclenche un gigantesque incendie. Les animaux terrifiés assistent, impuissants, au désastre. Tous sauf...

... le petit colibri qui s'active en allant chercher quelques gouttes d'eau à la rivière pour les verser sur les flammes !

"Mais, petit colibri, tu es fou ? Tu ne vois pas que tu ne vas pas réussir à éteindre l'incendie avec tes minuscules gouttes apportées ? Lui demanda le tatou.


Et le petit colibri de répondre "je sais, mais je fais ma part".

C'est aussi ce que nous faisons, en tant que jardiniers dans nos lopins de terre.


Cette image est souvent reprise pour la thématique du développement durable, du tri par exemple, de toutes ces actions individuelles et locales, où - on ne voit pas d'impact immédiat sur le grand tout, mais dont on sait que c'est pourtant incroyablement vertueux pour le grand tout.


Comme vous le voyez, je n'ai pas seulement mis un colibri qui se nourrit de nectar d'une sublime plante rouge.

J'ai aussi représenté le bébé colibri dans le logo :

L'aviez-vous vu du premier coup d'oeil ?

C'est assez rare d'observer une couvaison de bébé colibri. Le nid n'est pas plus grand que la taille d'un pouce humain. Il pend littéralement à UNE feuille.


Dans la nature, en Amérique centrale, je n'ai pas réussi à voir de nid de bébé colibri.


C'est juste hyper rare. J'en ai vu en documentaire : le nid fait réellement la taille d'un dès à coudre !!


Mais dans la même idée de petits êtres qui se cachent au bout d'une feuille, j'aimerais vous montrer une espèce de petites chauve-souris qui se cachent la journée au bout des feuilles de palmiers, pour être abritées du soleil et de la pluie.

C'est minuscule aussi, n'est-ce pas ?


Eh bien certains colibris adultes sont encore plus petits.

Je vous laisse imaginer la taille de leur oeuf <3.

C'est un être vivant si petit, si beau.


Comme tous les bébés, il crie de manière si grande, si pas belle.

Il appelle ses parents sprinters pour le relais du nourrissage et de l'odyssée de la vie.


Les colibris ne vivent pas longtemps par rapport à d'autres oiseaux.


Ils vivent en moyenne quelques années (5 ans en moyenne) contre des dizaines d'années pour d'autres (15 ans facilement pour un merle en Europe, ou 50 ans et plus pour un perroquet du Gabon, voire 80 ans pour certains perroquets comme Strigops Kakapo de Nouvelle-Zélande!!)


Ce cycle parent-enfant est aussi un concept fort de tout être vivant qui contient en lui la vie et la mort.


Le maillon enfant - parent - enfant est lui aussi tout une odyssée de la vie à la mort.


Dans notre corps humain aussi ce tandem se joue, et à tout niveau, en permanence : la peau, les cellules, les os, les cheveux, le sang… tout se renouvelle aussi.


Un cycle de vie-mort-renaissance basée sur 30 à 50 jours, puis un jour, qui prend fin. Mais cette fin sert de socle pour donner littéralement vie à d'autres êtres.


"Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme".

Comme nous disait Antoine de Lavoisier

Nos atomes mêmes, l'eau que nous buvons... existaient déjà au temps des dinosaures et bien avant...


Encore un dernier détail de mon dessin, que j'ai à cœur de vous expliquer


Avec la plante et les oiseaux, nous avons en réalité presque tous les règnes du vivant : la plante fait le maillon entre le sol (infiniment petit) et les animaux (mammifères mais pas seulement, la preuve avec les oiseaux).


Seules les plantes (et des bactéries, champignons and co..) savent se nourrir directement du règne minéral et du soleil.


Les autres ne savent littéralement pas créer leur énergie.




Les autres, ils font comment alors ?


Ils mangent ceux qui ont su créé de l'énergie.


Les animaux dit herbivores mangent donc des plantes.


Et d'autres animaux (dits prédateurs) mangent les animaux qui mangent des plantes (herbivores).


Et certains font les 2 (humains, mais pas que! Regardez votre chat ou chien).


Et in fine ca reconstitue la pyramide alimentaire.


Mais, ceux qui se trouvent "en haut", sont en fait les plus dépendants des autres : sans la vie des autres, ils ne peuvent survivre. Ils sont en fait à la base, tout en bas, en quelque sorte.


Ils ne savent pas créer de l'énergie à partir du sol, ou du soleil.


Cette interdépendance ne vous rappelle pas le logo du colibri ? ;)


Donc ce logo contient aussi les différents règnes.


Et l'humain lui-même bien sûr contient aussi ce côté végétal, minéral, et animal.


J'aime penser que le côté végétal lui donne sa structure verticale, le minéral ses composants (atome), l'animal sa mouvance, sa faculté de mouvements.


Qu'en pensez-vous ?


J'ai hâte de vous lire !!


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Restez nature ! Amicalement,
Florence

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Le mot de la fin ?
"On est toujours l’imbécile de l’un ET le génie de l’autre...
alors soyons nous et partageons." Florence

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